Nadia Teixeira – après 9 années passées chez Westburne Canada – le goût d’y être encore!
October 5, 2016
Laurence rocher-Brassard
Nadia Teixeira occupe le rôle de directrice nationale des programmes marketing pour Westburne Canada depuis 18 mois, mais fait partie de l’entreprise depuis 9 ans. Elle possède un baccalauréat en administration des affaires – marketing. Elle a appliqué à une offre d’emploi de Westburne dès sa sortie de l’université. Bien qu’au début elle considérait ce poste comme un tremplin, elle s’est vite sentie bien dans cette entreprise, ainsi que l’industrie, et s’y trouve encore aujourd’hui.
Résumez-nous votre parcours professionnel. Quel est votre poste actuel et quelles sont vos responsabilités ?
Je fais partie de la famille Westburne depuis 9 ans. Au cours des 8 dernières années, j’ai occupé les rôles d’assistante, coordonnatrice et directrice marketing pour la division du Québec. Depuis maintenant 18 mois, j’occupe le rôle de directrice nationale des programmes marketing pour Westburne Canada.
Comment êtes-vous arrivé(e) à travailler dans votre emploi actuel et pourquoi dans notre industrie ?
Après avoir terminé mes études et obtenu mon baccalauréat (administration des affaires – marketing) j’ai sauté sur la première opportunité d’emploi qui m’a été offerte, celle de coordonnatrice marketing chez Westburne. Je n’avais absolument aucune connaissance de l’industrie électrique et mes intentions étaient simplement d’acquérir de l’expérience de travail en marketing. Pour moi c’était « temporaire » … me voici encore ici aujourd’hui 9 années plus tard – et absolument heureuse de l’être, mes collègues, patrons, nos clients… cette entreprise est devenue une deuxième famille pour moi.
Quels sont les défis de votre emploi actuel ?
Avoir un rôle « national » est définitivement un de mes plus grands défis, car les équipes avec lesquelles je collabore maintenant se retrouvent partout au Canada. C’est important pour moi de « connecter » avec les gens, de bâtir des relations avec mes collègues, de m’amuser et rire avec eux – pas aussi facile lorsque nos communications se font à distance. C’est pour cette raison que je privilégie le téléphone de plus en plus, je m’assure de les appeler chaque semaine, ça fait toute la différence.
Selon vous, quels sont les défis actuels de notre industrie ?
J’aime parler d’opportunités plutôt que de défis.
Une des principales, selon moi, est dans la planification de la relève. Heureusement, on voit notre industrie y investir de plus en plus de temps et d’énergie depuis quelques années! Moi-même, j’ai voulu faire ma part, c’est pourquoi j’ai joint le comité du Réseau des jeunes professionnels de l’ÉFC au Québec. Ce réseau est une occasion pour les jeunes de l’industrie de se rassembler et d’en apprendre sur le développement professionnel et sur les meilleures pratiques de l’industrie. C’est impressionnant de constater à quel point les jeunes veulent justement contribuer à notre industrie. Et c’est très inspirant de participer à cette évolution.
Quelle est la personne (réelle ou fictive) qui vous inspire le plus ?
Impossible d’en nommer une seule. Je suis constamment inspirée par les gens qui foncent, qui ne reculent devant rien, pour faire une différence dans leur vie ou dans la vie des autres. J’ai la chance d’en côtoyer plusieurs quotidiennement, ces individus ont définitivement un impact positif dans ma vie – ils me motivent tous les jours.
Quels conseils donneriez-vous à des individus qui voudraient venir travailler dans cette industrie ?
Prenez le temps d’apprendre à connaitre vos collègues ; vous investir dans ces relations, c’est également vous investir dans votre travail, car ça facilitera la collaboration et le travail d’équipe.
Posez des questions, et soyez à l’écoute ; collègues, clients, partenaires… ils pourront vous en apprendre beaucoup et vous aider à évoluer.
Amusez-vous ; la meilleure façon d’être productif est d’avoir du plaisir ! L’énergie positive peut changer le monde, alors foncez!