L’initiative sur la diversité de la FIOE mise sur la réussite du Canada
Dans le dernier Electrical Worker, le président international Lonnie R. Stephenson a annoncé l’initiative « IBEW Strong » pour faire croître un syndicat plus inclusif et représentatif, et nos dirigeantes et dirigeants syndicaux de la FIOE au Canada accueillent cet élan pour accroître la diversité tout en continuant à former les meilleurs électriciens du monde. C’est une priorité qui existe depuis des années au premier district.
Dans le dernier Electrical Worker, le président international Lonnie R. Stephenson a annoncé l’initiative « IBEW Strong » pour faire croître un syndicat plus inclusif et représentatif, et nos dirigeantes et dirigeants syndicaux de la FIOE au Canada accueillent cet élan pour accroître la diversité tout en continuant à former les meilleurs électriciens du monde. C’est une priorité qui existe depuis des années au premier district.
« En tant qu’industrie, nous avons l’occasion de résoudre de multiples problèmes en mettant les gens à l’emploi, » mentionne Cheryl Paron, la représentante internationale qui est responsable de la sensibilisation auprès des communautés traditionnellement sous-représentées du premier district.
« Nous sommes fiers de la force de nos apprenties et apprentis en construction. Nos normes sont plus exigeantes. Mais en même temps, ils peuvent exclure des communautés qui n’ont pas les ressources pour répondre à nos critères. Nous cherchons des moyens pour changer la façon de faire tout en assurant le respect de ces normes. »
« Nous avons longtemps travaillé pour rendre l’appartenance à la FIOE plus accessible, et cette initiative va nous aider en faire davantage, » dit le vice-président international Thomas Reid. « Non seulement qu’ouvrir nos portes est la bonne chose à faire, mais nous devons tenir compte de ce changement au fur et à mesure que notre nation se diversifie. La FIOE offre une voie vers une meilleure qualité de vie aux membres et à leur famille et cela est particulièrement essentiel dans les endroits où la population a traditionnellement été marginalisée. »
C’est le cas des collectivités autochtones du Canada qui ont nettement pris un retard en ce qui concerne les salaires et les avantages sociaux au Canada et où les possibilités d’éducation sont souvent limitées. Mme Paron déclare que les collectivités autochtones veulent s’impliquer davantage dans les syndicats, car elles estiment qu’ils offrent à leurs citoyennes et citoyens une chance d’avoir une meilleure vie.
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