Une nouvelle ère à l’horizon pour l’industrie éolienne québécoise
Caroline Farley
La filière éolienne québécoise a connu l’essentiel de son développement au cours des deux dernières décennies. Avec près de 4 000 MW de puissance installée, l’industrie éolienne constitue un secteur d’activité important qui génère d’importantes retombées tant au plan financier qu’en terme de développement économique du Québec et de ses régions.
Au cours des dernières années, la stagnation du marché domestique et de l’exportation a entraîné un surplus de production chez Hydro-Québec. Résultat? Le développement de l’éolien a été mis sur la glace.
Tout porte à croire que les années à venir seront de nouveau prometteuses pour la filière éolienne québécoise. À l’instar d’autres pays, le Québec s’est doté d’une cible ambitieuse de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre (GES), soit une réduction de 37,5 % à l’horizon 2030 par rapport à 1990.
Pour répondre à cet objectif, la province mise notamment sur l’électrification des transports, des bâtiments et des industries. Il sera alors nécessaire d’augmenter la production d’électricité à partir de sources d’énergies propres comme l’énergie éolienne, l’hydroélectricité et l’énergie solaire.
Au début du mois de février dans le cadre du coup d’envoi du projet éolien Apuiat, le premier ministre François Legault et la nouvelle pdg d’Hydro-Québec, Sophie Brochu, ont d’ailleurs ouvert la porte à d’éventuels appel d’offres. Les indicateurs semblent donc favorables à la reprise du développement éolien au Québec.
Portrait actuel de l’industrie
Au terme de quatre appels d’offres en énergie éolienne, le Québec compte actuellement 47 parcs éoliens sur son territoire, pour une puissance installée totale de 3 882 MW.
Au plus fort de leur développement, les projets éoliens québécois ont ainsi entraîné la création de 5 000 emplois à temps plein, dont plusieurs dans des entreprises manufacturières de la région de la Gaspésie‑Îles-de-la-Madeleine et de la MRC de La Matanie, et près de 1 000 à Montréal.
La filière éolienne québécoise a connu l’essentiel de son développement au cours des deux dernières décennies. Avec près de 4 000 MW de puissance installée, l’industrie éolienne constitue un secteur d’activité important qui génère d’importantes retombées tant au plan financier qu’en terme de développement économique du Québec et de ses régions.
Au cours des dernières années, la stagnation du marché domestique et de l’exportation a entraîné un surplus de production chez Hydro-Québec. Résultat? Le développement de l’éolien a été mis sur la glace.
Tout porte à croire que les années à venir seront de nouveau prometteuses pour la filière éolienne québécoise. À l’instar d’autres pays, le Québec s’est doté d’une cible ambitieuse de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre (GES), soit une réduction de 37,5 % à l’horizon 2030 par rapport à 1990.
Pour répondre à cet objectif, la province mise notamment sur l’électrification des transports, des bâtiments et des industries. Il sera alors nécessaire d’augmenter la production d’électricité à partir de sources d’énergies propres comme l’énergie éolienne, l’hydroélectricité et l’énergie solaire.
Au début du mois de février dans le cadre du coup d’envoi du projet éolien Apuiat, le premier ministre François Legault et la nouvelle pdg d’Hydro-Québec, Sophie Brochu, ont d’ailleurs ouvert la porte à d’éventuels appel d’offres. Les indicateurs semblent donc favorables à la reprise du développement éolien au Québec.
Portrait actuel de l’industrie
Au terme de quatre appels d’offres en énergie éolienne, le Québec compte actuellement 47 parcs éoliens sur son territoire, pour une puissance installée totale de 3 882 MW.
Au plus fort de leur développement, les projets éoliens québécois ont ainsi entraîné la création de 5 000 emplois à temps plein, dont plusieurs dans des entreprises manufacturières de la région de la Gaspésie‑Îles-de-la-Madeleine et de la MRC de La Matanie, et près de 1 000 à Montréal.
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