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La grande majorité des entrepreneurs achètent leurs produits chez un distributeur

L’industrie électrique a vu beaucoup de changements en peu de temps. L’utilisation généralisée des composants à semi-conducteurs et de logiciels a contribué à changer la façon dont nous intégrons les composants. Éclairage, commandes de moteur, CVCA, contrôle de la puissance, systèmes d’automatisation à petite échelle et systèmes de communications ont tous été révolutionnés par les commandes électroniques. 

La base de tout programme de sécurité en électricité est simple : limiter l’exposition des travailleurs aux risques que représentent les chocs et les arcs électriques. Faire des tests implique souvent de travailler à l’intérieur des panneaux sous tension pour faire des diagnostics ou pour des entretiens de routine.

Dans cet article vous verrez les plus récents développements qui touchent les systèmes d’éclairage, plus particulièrement les systèmes branchés. L’éclairage lié à l’Internet permet d’intégrer la lumière dans nos vies de façon nouvelle. L’avenir est limité par notre imagination.

Pour les vétérans de l’industrie électrique, le concept de la gestion en temps réel est peut-être de la vieille histoire, mais pour les consommateurs, il s’agit d’un tout nouveau monde. À ce jour, les exemples plus connus de systèmes de gestion en temps réel se retrouvent dans d’importantes applications commerciales, et non dans le secteur résidentiel ou celui de plus petits commerces. Il est temps toutefois de préparer le terrain pour l’arrivée de cet important outil dans de nouveaux marchés. Les défis de l’industrie énergétique sont bien connus. Dans des économies matures, comme celle du Canada, la croissance de la demande électrique est minimale, mais les services publics font face à des pressions croissantes pour devenir plus efficaces, réduire leurs coûts et ne pas augmenter les frais payés par les consommateurs. C’est un terreau propice pour l’implantation de la gestion en temps réel. 

Les édifices commerciaux et industriels sont plus importants que les autres secteurs regroupés

La base de tout programme de sécurité en électricité est simple : limiter l’exposition des travailleurs aux risques que représentent les chocs et les arcs électriques. Faire des tests implique souvent de travailler à l’intérieur des panneaux sous tension pour faire des diagnostics ou pour des entretiens de routine. Les travailleurs qui font ces tests sont exposés à des dangers réels. L’équipement de protection individuel représente un obstacle aux chocs et aux arcs, mais ne peuvent constituer la seule et principale source de protection pour les électriciens et les techniciens. Des pratiques de travail sécuritaires, comme l’utilisation d’outils de test sans contact ne met pas les travailleurs en danger. C’est peut-être la première chose à considérer quand on parle de sécurité électrique. 

Presque tous les répondants disent travailler en usine, certains sur la construction d’hôtels. Voir tous les détails.

Le Canada a produit 47,4 millions de mégawattheures (MWh) d’électricité en août, soit 2,0 % de moins qu’à la même période en 2013. La baisse de la production est principalement attribuable à une diminution de 1,3 % de la demande intérieure. Comparativement à août 2013, la demande a reculé dans six provinces et deux territoires, la majeure partie de la diminution ayant été enregistrée au Québec, en baisse de 2,3 % pour s’établir à 14,4 millions de MWh.

La plupart d’entre nous associent l’énergie solaire avec de grands panneaux accrochés sur les toits. Mais une nouvelle génération de bâtiments durables intègre la technologie dans la structure des édifices. «Quand j’ai commencé, il fallait être un peu guérilla pour faire avancer les choses avec le photovoltaïque», explique Anthony Pereira, fondateur de altPOWER basée à New York, qui a commencé à travailler dans la ville en 2001 sur l’un des premiers bâtiments américains équipé avec le photovoltaïque intégré au bâtiment (BIPV). Maintenant, la technologie est en train de prendre son envol dans le monde entier.

En 2014, le CBDCa a commandé une étude à McGraw Hill Construction qui a porté sur la croissance actuelle et projetée, les déterminants et les obstacles des bâtiments durables et leurs incidences pour les locataires et les occupants. Le rapport qui en a découlé est intitulé Canada Green Building Trends : Benefits Driving the New and Retrofit Market et il est le premier de ce genre au Canada.

Capter l’énergie du vent et celle du soleil est de plus en plus facile, mais la stocker pour un jour de pluie est une autre histoire. C’est un problème, comme ne manquent jamais de le souligner les critiques des énergies renouvelables. L’énergie éolienne a tendance à être plus importante pendant la nuit, lorsqu’elle est le moins nécessaire. L’énergie solaire, par comparaison, est plus facilement disponible quand le soleil est lumineux – mais la question est de savoir comment conserver cette énergie pour plus tard, lorsque les industries et les collectivités en ont besoin

Résidences et appartements dans le haut de la liste, les hôtels dans le bas.

Vous demandez vous parfois quels sont les comportements durables adoptés par les Canadiens. On assume que nous sommes plus écologiquement responsable ou amical que nos voisins du sud, mais est-ce vraiment le cas?
Voici un coup d’œil sur nos pratiques.