Hydro-Québec : volume historique d’exportations nettes après trois trimestres
17 novembre 2017
Pour la période de trois mois terminée le 30 septembre 2017, le bénéfice net s’est établi à 288 M$, ce qui porte le bénéfice net cumulatif à 2 190 M$, soit un résultat comparable aux 2 196 M$ enregistrés en 2016. Soulignons que les trois premiers trimestres de 2017 ont été marqués par un volume historique d’exportations nettes d’électricité, celles-ci ayant atteint 27,1 TWh.
« Même si les températures estivales dans nos marchés du Nord-Est américain ont été beaucoup moins chaudes cette année qu’en 2016, nos exportations nettes d’électricité se sont maintenues à un niveau élevé, a affirmé Mme Croteau. En effet, nous avons inscrit l’une de nos meilleures performances en termes d’exportations pour un troisième trimestre. »
Faits saillants du trimestre :
- Marchés hors Québec
- Volume soutenu d’exportations nettes : 9,6 TWh pour 406 M$
- Importants investissements partout au Québec
- Poursuite de la construction et du raccordement du complexe hydroélectrique de la Romaine et mise en service de la centrale de la Romaine‑3 (395 MW)
- Progression des travaux dans le cadre du projet à 735 kV de la Chamouchouane−Bout-de-l’Île
- Réfection de plusieurs équipements de production et de transport
- Premier financement d’importance en 2017
- Émission, à un coût de 3,10 %, d’obligations totalisant 500 M$ et échéant en 2055
Sur les marchés hors Québec, les exportations nettes d’électricité d’Hydro‑Québec Production se sont maintenues à un niveau élevé même si les températures enregistrées dans le Nord‑Est américain ont été près des normales en 2017, alors qu’elles avaient été très chaudes en 2016. En effet, grâce à l’exécution judicieuse des programmes de vente ainsi qu’à la bonne performance des équipements de production et de transport, la division a exporté 9,6 TWh pour 406 M$ au troisième trimestre de 2017, comparativement à 9,8 TWh pour 400 M$ à la même période l’an dernier.
Les frais financiers ont quant à eux augmenté de 10 M$, principalement sous l’effet des variations du taux de change sur le fonds de roulement libellé en dollars américains.