Le Massachusetts donne le feu vert aux ententes de vente d’énergie

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logo-hq-couleur-400.gif29 juin 2019

Le département des services publics (Department of Public Utilities ou DPU) du Massachusetts a approuvé les ententes d’achat d’électricité intervenues entre les entreprises de distribution d’électricité de cet État et Hydro-Québec. Dans sa décision, le DPU souligne que les livraisons d’énergie découlant de ces ententes auront des avantages durables pour le Massachusetts sur le plan de la réduction des émissions des gaz à effet de serre.

Les ententes portent sur la livraison annuelle d’environ 9,45 térawattheures d’énergie de base propre et fiable pendant 20 ans. Cette énergie proviendra du vaste parc de production hydroélectrique d’Hydro-Québec, ce qui se traduira non seulement par une réduction des émissions mais aussi par une augmentation de la fiabilité de l’alimentation dans la région.

« L’approbation des ententes par le Massachusetts est une étape importante de notre parcours vers un avenir énergétique propre, a affirmé Éric Martel, président-directeur général d’Hydro-Québec. Nous continuerons à collaborer étroitement avec notre partenaire Central Maine Power pour obtenir les autres permis nécessaires pour la réalisation de ce projet, tant dans le Maine qu’au Québec. »

Le projet New England Clean Energy Connect(NECEC) prévoit la construction d’une ligne de transport pour acheminer l’énergie d’Hydro-Québec jusqu’au Massachusetts aux fins des ententes conclues avec les entreprises de distribution d’électricité de cet État. Il a déjà été autorisé par la commission fédérale de réglementation de l’énergie (Federal Energy Regulatory Commission) et la commission des services publics (Public Utilities Commission) du Maine.

Les partenaires doivent également recevoir des permis du département de protection de l’environnement (Department of Environmental Protection) du Maine et la commission d’aménagement foncier (Land Use Planning Commission) de cet État, l’approbation du corps des ingénieurs de l’armée américaine (US Army Corps of Engineers) et le permis présidentiel du département de l’énergie (Department of Energy) des États-Unis. Plusieurs permis provinciaux et fédéraux doivent également être obtenus pour la partie québécoise du projet.

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