Le Québec doit se doter d’une «agence autonome pour la maîtrise de l’énergie» afin de réussir son ambitieuse transition énergétique, affirme l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC), dans une étude publiée lundi.

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lme6_cs_3_irec400.jpg3 janvier 2017

Dans ce rapport intitulé Transition du secteur énergétique: amorcer une rupture, les co-auteurs du rapport, le directeur général de l’IRÉC, Robert Laplante, et le chercheur Gilles L. Bourque, proposent que cette agence soit dotée d’un budget de plus de 800 millions de dollars, dont 400 M$ financés à partir du Fonds vert (SPEDE).

Pour consulter l’étude, cliquer ici.

Le gouvernement du Québec nommerait le ou la dirigeante de cette agence, qui serait chargée de collaborer avec les organismes existants dans les secteurs du transport, de l’industrie et du bâtiment.

Selon l’IRÉC, la création d’une telle agence permettrait au Québec d’être plus efficace pour accroître la part des énergies vertes dans le profil énergétique de la province.

Les co-auteurs affirment que cette stratégie permettrait de porter à 48,6% la part des énergies renouvelables, en 2020, et à 59,2%, en 2030. En 2014, les énergies vertes représentaient 46% de la consommation totale d’énergie au Québec.

Lire la suite de cet article sur le site web du journal Les Affaires.


Article écrit par Fançois Normand

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